Un jour viendra
où je ne verrai pas
le renouveau,
le bourgeonnement,
le recommencement
de toute chose
toi, qui me survivras,
tu seras, encore une fois,
emportée par la joie
de la sève éternelle
qui accompagne le printemps
et, si tu songes encore à moi,
souviens-toi
de mon amour immodéré
pour cette saison.
mardi 30 mars 2010
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Il est beau ton poème...
RépondreSupprimerQue tous ceux qui t'aiment le clament...
RépondreSupprimerTu es encore plus tendre que fou, et encore plus fou qu'intelligent...Bah !!! de toutes façons, la seule chose qui me rassure c'est que moi non plus je mets pas mes chaussures... Non ! Pas parce que ça fait bien mais juste pour faire chier un peu les passants.
C'est malheureux mais c'est mon bon plaisir. Quelqu'un veut jouer avec moi ?
@ Anonyme : tiens, en voilà un qui m'aurait vu arpenter tout au long d'un WE les allées d'un salon sans mes chaussures....
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