Votre visage apoplectique
éclaboussait l’écran.
Le voyant, on imaginait
la robe grenat
de quelque vin de Bordeaux,
le violet subtil d’une sauce
accompagnant une viande
saignante et écarlate.
Votre face cramoisie
donnait surtout à penser
que vous ne verriez plus longtemps
la magie amarante
de la vie.
mardi 17 novembre 2009
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