vendredi 30 octobre 2009
Permanence
Il faut que tout change pour que rien ne change, écrivit, à peu près, Lampedusa. Il était question de la perte de pouvoir de l’aristocratie sicilienne. Aujourd’hui, même rengaine. La rupture annoncée par le prince, version moderne du changement, ne fait que voiler le fait que l’argent et le pouvoir restent bien dans les mêmes mains. Tout change, tout change, et rien ne change. Infiniment se voir roulé dans la farine, à l’envers, à l’endroit, chante Noir Désir.
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