Miranda, mon étrangère,
Je me souvenais de vous,
Que j’avais déjà rêvée,
Qui venez à nouveau
De m’apparaître,
En songe me surprenant,
Toujours dans votre robe légère,
Qui s’évapore au vent
Toujours sublime,
Toujours m’aguichant,
Toujours si désirable
Toujours juvénile,
Bien plus que moi, hélas,
Qui, depuis votre dernier voyage
Ai perdu tant de vigueur,
Ajoutant aux tourments passés
Celui de l’impossibilité.
dimanche 11 octobre 2009
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