mercredi 28 octobre 2009
Prétexte
Les séances de dédicace, c’est toujours pareil. Ça commence par une période Beauvoiro-Sartrio-Florienne d’observation de mes contemporains. Ensuite, je me mets au boulot. Je relis, je corrige. Ensuite, j’ai un peu la bougeotte. Je vais prendre un café, fumer une clope, je reviens et puis, entre les quelques ceux qui s’arrêtent, je me remets au boulot. Et puis, de nouveau, le gratouillis dans les guibolles. Bouger. Ça se termine toujours de la même manière. Vers la fin, il n’y a plus qu’un seul centre d’intérêt: le cul des filles qui passent. Et c’est très rare quand un beau cul passe. La littérature, mes fesses!....
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